Additifs.
(Texte revu et
corrigé en mai 2004).
Après la parution en
novembre 2002 des Entretiens avec le Dr
Weltfaust, deux faits liés à cette publication se produisirent. En décembre
2002, les individus signant « O.T. » tentèrent de contester — dans un communiqué
intitulé Voyerisation sans fin — les
résultats de l’Autopsie finale où ils
sont, pour la postérité, stigmatisés en tant que manipulateurs pathologiques et
calomniateurs ratés. En février 2003, J.-P. Voyer décida d’intervenir dans
cette affaire, devenue publique par la volonté de son éditeur, en expliquant
pourquoi il refusa en 1991 de répondre en privé à monsieur Solneman et en dégageant de leur gangue mensongère, en
portant progressivement à la lumière
du jour les preuves de la calomnie
dont son éditeur et lui-même, par la même occasion, avaient été les victimes.
Cette intervention provoqua la riposte immédiate des créatures de l’O.T. qui
publièrent coup sur coup plusieurs textes où s’expriment la colère et
l’indignation de ces petits propriétaires et rentiers brutalement spoliés de la
jouissance de leur falsification indiscutable® et des dividendes de leur
honnête calomnie. Nous recommandons aux personnes passionnées par cette
affaire, d’importance mondiale, la lecture de ces divers documents disponibles
sur le site de l’O.T. et sur celui de J.-P. Voyer. Dans les présents Additifs sont soumis au public les
derniers résultats de nos impartiales investigations ainsi qu’un examen
critique des arguments de l’accusation et de ceux de la défense puisque celle-ci existe, maintenant.
1) Précisions
à propos de monsieur Solneman et des
ectoplasmes de la B.E.
La première mention publique de « Adreba Solneman » eut
lieu, à notre connaissance, en mai 1991 et non pas en août 91 comme le
prétendirent — après parution de notre Autopsie
— les irréprochables menteurs de l’O.T., pour les besoins de leur scénario. Il
est vrai qu’en août 1991, dans le bulletin n° 3 de la revue B.E., figure une réclame de trois pages pour un ouvrage à
paraître, signé par un certain Adreba Solneman, édité par Belles Émotions, l’éditeur de la revue B.E.. Mais, il est faux de
dire que c’est là la première apparition du monsieur
puisque c’est en mai 1991 qu’Adreba Solneman fut présenté par les rédacteurs de
la B.E. comme la « personne » à qui il fallait écrire si l’on était
intéressé par leur offre de recrutement présente à la page 37 de leur bulletin
n° 2. En septembre 1991, à la lecture du n° 2 de L’Imbécile de Paris, quelques rares initiés — dont je faisais
partie — apprennent donc que : a) le monsieur
préposé au recrutement à la Bibliothèque
des Émeutes a écrit en juin 1991 à J.-P. Voyer pour le questionner à propos
de son texte publié dans le n° 1 de ce journal, que : b) Voyer — qui
visiblement ignore qu’il a affaire à ce que l’on pense être à l’époque le
sergent recruteur du confidentiel groupuscule B.E. — a répondu à ce monsieur et que : c) cette réponse
a eu lieu, comme cela semble logique en pareil cas, dans L’Imbécile de Paris. La suite est connue. Ce n’est que bien plus
tard — l’étiquette « Solneman » étant devenue inutile et obsolète par
suite de la création de l’étiquette « O.T. » — que sera révélée au bon
peuple l’inexistence (l’existence non
réelle, en novlangue otiste) de l’individu
signant « Solneman ». Comme il était plaisant de finement ricaner, en
1991, face à ce niais de Voyer répondant poliment à monsieur Solneman ! N’est-ce pas ? C’est ce recours
« théorisé » et « planifié » à des signatures bidon et au jeu sur les étiquettes et les id-entités
qui explique que ces apprentis ventriloques — empêtrés dans leurs simultanées
et fallacieuses soutanes — mentiront, onze ans après, en niant effrontément
l’existence de ce lien indissoluble
entre la marionnette Solneman et les manipulateurs du groupuscule B.E., auteurs
de cette supercherie.
2) Précisions
à propos du plan de monsieur Solneman.
Les vertueux calomniateurs
de l’O.T. prétendent maintenant que les gentils marionnettistes de la B.E.
déguisés en « Solne-ment » n’avaient pas de plan et qu’au contraire
c’est le méchant Voyer qui avait un plan. Bien sûr, qu’ils avaient un
plan ! Comme en témoigne la teneur
de leur 1ère lettre. C’est le caractère totalement foireux —
toujours ce mélange risible de naïveté et de roublardise — de ce plan qui est à
la base de toute l’affaire qui allait suivre. Plutôt que d’écrire à J.-P. Voyer
en se présentant en toute franchise, en toute simplicité pour ce qu’ils étaient, plutôt que d’attendre
la parution de leur livre, signé Solneman, pour lui faire parvenir la chose et
entamer une éventuelle discussion privée
sur cette base, ils avaient fait le choix intrinsèquement manipulateur et, si
l’on peut dire ainsi, spontanément
tordu, de recourir au stratagème que l’on sait et que nous soumettons à
l’examen du public encore une fois. Il s’agissait de questionner J.-P. Voyer à propos de son texte paru dans le n° 1 du
journal L’Imbécile de Paris à partir
d’un point de vue qui devait rester non
formulé et en dissimulant donc
aussi qui ils étaient, en se
déguisant en lecteur inconnu, en ne disant pas encore que le monsieur était l’auteur d’une nouvelle théorie de
l’histoire qui serait révélée seulement après que Voyer ait passé le test des questions à trois sous que ces
petits instits à la gomme — dépositaires du credo nouvelle vague — avaient décidé de lui faire subir, sans le lui
dire. La suite de l’affaire, telle qu’elle a été couverte par les petits pigistes de la B.E. puis, retranscrite par les grands reporters de
l’O.T. vaut son pesant de Chupa Chups.
Le cancre Voyer eut tout faux aux tests théoriques : il répondit à chacune
des questions du monsieur, point par
point donc, mais, hélas — le pauvre ! — sans rien dire de neuf. Il avoua même stupidement n’avoir
rien compris au génial dernier passage de la lettre du monsieur qui se terminait par une affirmation volontairement non
argumentée. Il fut pareillement et sévèrement recalé aux tests pratiques où il
apporta la preuve de sa nature manipulatrice et tordue (ce genre de preuve qu’affectionnent les petites
gouapes de l’O.T. est un effet du syndrome dit de Selbstmiroitement, connu aussi sous l’appellation plus savante
d’extrapolation-miroir) en écrivant à ce lecteur pour lui dire qu’il allait lui
répondre et ainsi en lui faisant croire
qu’il allait lui répondre à lui uniquement, en dissimulant donc son intention
de lui répondre publiquement. Préférant ainsi lâchement discuter en public
plutôt que de courageusement discuter en privé. Son plan intrinsèquement
vicieux et spontanément haineux (toujours le Selbstmiroitement !) étant de publier la lettre du brave et
modeste Solneman sans le prévenir pour se faire traîtreusement valoir à ses
dépends, pour se mousser ! En
plus, il trafiqua et manipula cette innocente lettre et il antidata
sournoisement sa réponse. Puis, il se déroba comme un couard dès que le
confiant et gentil Solneman lui exhiba, en privé, sa grosse théorie, tentant
ainsi de dissimuler son incapacité à lui répondre sous un mutisme révélateur de
sa panique totale et implora ensuite son génial et implacable contradicteur de
ne plus l’oppresser et de le laisser libre de s’engloutir dans le silence.
Enfin, l’échange à peine terminé, il s’empressa avec la veulerie qui lui est
coutumière de publier en cachette un
soi-disant recueil, ignoble falsification indiscutable® de cette
correspondance, destiné à travestir crapuleusement sa minable défaite en
victoire totale, avec la complicité d’un éditeur qu’il ne connaissait pas à
l’époque, ce qui constitue une circonstance particulièrement aggravante. Tous
ces crimes et faits « indiscutables » tels que les ont objectivement communiqués au public ces
génies du néo-journalisme seront examinés en détail plus loin.
3) Précisions
à propos des successives éditions du recueil de M. von Nichts.
En 1992, fut diffusée à
Strasbourg (pas à Paris) par les Éditions
Anonymes, une brochure de 78 pages au format 14,5 x 20,5 recueillant
l’ensemble des textes relatifs à J.-P. Voyer présents dans les numéros de L’Imbécile de Paris « parus à ce jour » comme il est
indiqué dans la courte préface. Cette brochure, sans nom d’auteur, porte le
titre en majuscules : JEAN-PIERRE
VOYER, L’IMBÉCILE DE PARIS et est datée, par son achevé d’imprimé, de mars
1992. Il est ici à noter que J.-P. Voyer ne pouvait pas être l’instigateur de
cette publication ni ne fut informé, sur le moment, de son existence puisqu’à
l’époque M. von Nichts et lui ne s’étaient pas encore rencontrés ni n’entretenaient la moindre relation. Il est
également à noter que M. von Nichts qui est une sorte d’éditeur sauvage — comme on disait au siècle
dernier — avait déjà édité et diffusé à Strasbourg en 1990 et en 1991 trois
textes de J.-P. Voyer (Reich, mode d’emploi. Fin du situationnisme
paisible. À un pédé mondain.) sans le connaître et donc sans aucune
autorisation de celui-ci. En mars 1995, M. von Nichts qui a entre-temps
rencontré son auteur favori décide
(mais avec, cette fois-ci, son
autorisation) de rééditer à l’identique
— étant donné que Voyer n’avait plus rien écrit d’autre dans le journal L’Imbécile de Paris — le contenu de son recueil sous forme d’un
petit livre signé J.-P. Voyer (diffusé cette fois-ci à Parigi, capitale
mondiale de ce que l’on sait mais aussi de la jobardise intellectuelle) avec la
jaquette pastiche de la collection blanche Gallimard (format 18,5 x 11,7) et
sous le titre L’Imbécile de Paris. En
1996, le premier tirage (à 6 exemplaires) étant épuisé, l’éditeur von Nichts
fait réimprimer ce livre tel quel.
4) Remarques à
propos de la falsification indiscutable® qui n’est plus à discuter.
Les illusionnistes de l’O.T.
faisaient sortir de leur petit chapeau une falsification indiscutable® ourdie dès 1992 par le méchant coyote J.-P.
Voyer — avec la complicité du petit cochon von Nichts — pour dissimuler sa
cuisante défaite face à Bip Bip Solneman. Ce risible scénario de dessin animé
(ânonné encore en novembre 2000 avec le plus grand sérieux par une pauvrette se
revendiquant de la néo-téléologie et régurgité tel quel en 2003 par ses
brillants collègues) avait été réfuté en trois lignes, en 1998, par M. von
Nichts. J’explique encore une fois
ici la chose pour la pauvrette. L’idée de faire un tel recueil et de le publier
fut le fait d’un éditeur qui ne connaissait pas J.-P. Voyer à l’époque et cette
publication est antérieure à la divulgation opérée par les béotiens de la B.E.
dans leur bulletin n° 4 en mai 1992. Si dans ce recueil — en supposant que M.
von Nichts ait voulu publier la correspondance Voyer/Solneman, ce qui
n’a jamais été ni ne pouvait être le cas(*) ! — la 2ème lettre de
Solneman est absente ou encore, si son existence n’y est pas mentionnée, c’est
bien par suite des agissements de monsieur
Solneman qui avait tout fait pour ne pas paraître une seconde fois dans un
si fade journal et donc, la partie du contenu de ce recueil qui le concerne est
ce qu’elle est non pas par suite des agissements « indiscutablement
falsificateurs » de l’éditeur von Nichts ni, encore moins, par suite des
agissements « indiscutablement falsificateurs » de J.-P. Voyer mais
est ce qu’elle est par suite des décisions et des manigances des messieurs et
dames de la B.E., déguisés en « Solneman », mécontents et outrés
d’avoir parus dans L’Imbécile de Paris
(du fait de leur plan à la con) et ayant fait en sorte que la discussion ne
puisse pas continuer dans les
colonnes de cet infâme journal.
(*) Note 1,
ajoutée en mai 2004. Rappelons, pour les nouveaux arrivants, que cet échange de
lettres — cette mythique correspondance indiscutablement
« falsifiée » — se résume, en
tout et pour tout, du côté de J.-P. Voyer à deux brèves missives privées. La première lettre de Voyer, datée du
28 juin 1991, fut envoyée à un inconnu
(lecteur du n° 1 de L’imbécile de Paris) pour le prévenir
qu’il allait répondre à sa lettre du 23 juin 1991. Ce qu’il fit, dans le n° 2
de ce journal. La seconde lettre de Voyer, datée du 8 janvier 1992, fut envoyée
à l’auteur d’un génial et inoubliable
ouvrage théorique de 600 pages (qui avait fait
en sorte que sa lettre non moins géniale et inoubliable — datée du 13
octobre 1991— ne puisse pas être
publiée dans ce journal) en réponse à sa relance
du 23 décembre 1991, pour confirmer qu’il avait bien reçu cette lettre et qu’il
n’y répondrait pas. Ces deux lettres privées ne figurent pas dans le recueil de M. von Nichts et c’est bien là la
preuve manifeste qu’il n’avait jamais
été dans son intention, ni dans ses
possibilités, de publier quelque correspondance que ce soit, mais
simplement et seulement de reproduire
des textes parus dans un journal.
5) Les
métamorphoses du recueil de M. von Nichts.
L’accusation de
falsification préméditée, calculée, planifiée et sournoisement mise à exécution
dès 1992, par l’horrible Voyer — aidé
de son vil éditeur — cherchant à maquiller sa défaite (défaite n’existant qu’à
titre de fantasme dans l’imagination des gens de la B.E./O.T., notons-le.) en
victoire est détruite, se révèle être (par la simple connaissance de la date
d’impression de ce recueil et de son initiateur véritable) une accusation
stupide et une supposition fausse, révélatrices de la malveillance chronique et
de la petitesse irrémédiable de ces gens. Ce recueil, qui existe par la volonté
de M. von Nichts, ne visait à rien d’autre qu’à sauver de l’oubli les textes
relatifs à Voyer parus dans un éphémère journal en les extrayant de la masse de tous les autres textes non relatifs à
Voyer parus dans ce journal et ne méritant pas, eux, du point de vue de cet
éditeur, d’être sauvés de l’oubli. On peut ne pas partager le point de vue de
M. von Nichts en considérant que ces textes sont des écrits de circonstances,
d’inégale importance, extraits de leur contexte et qui ne méritent pas d’être
sauvés de l’oubli. Mais, personne n’a le droit de lui reprocher d’avoir pensé
le contraire, d’avoir donc choisi fin 1991 de faire ce recueil publié en 1992,
de l’avoir réédité tel quel (L’Imbécile
de Paris ayant cessé de paraître sans que Voyer y écrive rien d’autre) en
1995 et de faire cela autant de fois qu’il le jugera nécessaire. Le fait
qu’après parution de ce recueil les gens de la B.E. aient publié une lettre
privée (ayant existé hors des colonnes de L’Imbécile
de Paris) signée Solneman et adressée à Voyer, lettre non publiée dans ce
journal de par leur volonté et à laquelle Voyer avait refusé de répondre, ne
peut en rien changer ce qui eut
irréversiblement lieu à l’époque dans les colonnes de ce journal, ne peut
en rien changer le contenu de ce recueil et ne peut donc en rien le
métamorphoser soudainement en falsification indiscutable® car il s’agit ici de
deux opérations distinctes et totalement étrangères l’une à l’autre. D’un côté,
M. von Nichts a publié un recueil de textes parus dans un journal. D’un autre côté,
les gens de la B.E. — par suite de l’échec de leur plan — ont publié ce qui
était déjà public mais ont aussi divulgué une lettre privée de Solneman à
Voyer, suivie d’une relance de Solneman et d’un refus de répondre de Voyer. Ces
lettres voulues hors de L’Imbécile,
privées donc, par les gens de la B.E., divulguées par eux par la suite, ne
peuvent pas intéresser M. von Nichts qui s’était donné pour mission de sauver
de l’oubli ce qui eut lieu dans L’Imbécile
de Paris à propos de Voyer et seulement cela. Cela pourrait éventuellement
l’intéresser si la 2ème lettre de Solneman, dont il apprend
l’existence en décembre 1995 — quelques mois donc après avoir réédité son
recueil sous la couverture pastiche de Gallimard — en feuilletant le fameux n°
4 de la revue B.E., avait été suivie d’une réponse de Voyer, si donc la
discussion avait continué en privé, hors de L’Imbécile
de Paris. Mais justement, J.-P. Voyer, immédiatement interrogé par le
scrupuleux von Nichts sur ce point, précisa qu’il n’avait pas répondu à cette
lettre privée (il avait même confirmé après relance qu’il ne répondrait pas).
La discussion avait cessé parce que précisément J.-P. Voyer avait refusé de
continuer celle-ci en privé, hors des colonnes de L’Imbécile de Paris. La présence de la 1ère lettre de
monsieur Solneman dans ce recueil et l’absence de sa 2ème lettre ne
résultent donc pas d’un choix falsificateur fait par von Nichts en 1992 ou en
1995 ou même plus tard mais sont la conséquence de la faillite du plan des gens
de la B.E. ayant tenté d’entraîner Voyer vers une continuation de la
« discussion » hors des colonnes de L’Imbécile de Paris et ayant échoué dans cette tentative. Exiger
six ans plus tard, sous le prétexte de la divulgation de la 2ème
lettre de Solneman, que ce recueil soit amendé, « rectifié » ou même
que soit seulement indiquée dans une minuscule note de bas de page l’existence
de cette lettre restée sans réponse revient à exiger que soient effacées leurs
fautes, que soient oubliés — tenus pour nuls et non avenus — les dissimulations,
tentatives de manipulations et choix unilatéraux irréversibles qui provoquèrent
la publication non désirée de la 1ère lettre puis la non publication
de la 2ème et — ipso facto
— la fin de l’échange, qui firent donc que la partie de ce recueil les concernant
est aujourd’hui ce qu’elle est, justement ! Exiger la reproduction de
cette 2ème lettre ou la mention de son existence dans ce recueil
sous couvert du devoir d’intégralité et du respect de la pensée d’autrui
(exigence assortie de la menace d’être foudroyé par la terrible accusation de
falsification) est donc pure escroquerie, pure tartuferie, pur bluff. Le plan
des gens de la B.E. déguisés en « Solneman » avait doublement
échoué : ils avaient paru contre leur gré dans un journal par la faute de
leur dissimulation initiale et cette dissimulation ainsi que le vicieux
stratagème de la 2ème lettre (volontairement volumineuse pour rendre
sa publication difficile ou impossible et ainsi ne plus paraître dans ce
journal) avaient fait que J.-P. Voyer refusa d’aller plus loin. Dans le recueil
de M. von Nichts, du fait de la décision irrévocable des gens de la B.E.
déguisés en monsieur Solneman, n’est
donc pas présente leur 2ème lettre voulue hors de L’Imbécile de Paris par eux, ni
mentionnée son existence, ni mentionné que Solneman était un individu fictif,
une supercherie manigancée par les gens de la B.E. Dans ce recueil, ne sont pas
expliqués le plan et les motivations des gens de la B.E. écrivant à Voyer
déguisés en monsieur Solneman. Dans
ce recueil, n’est pas reproduite ni mentionnée la fin de non-recevoir de J.-P.
Voyer consécutive à leur relance privée, ni expliquées les raisons de ce refus
de discuter en privé avec eux. Dans ce recueil, ne sont pas reproduites les 600
pages du pavé solnemanien, ni mentionné son existence. Dans ce recueil,
monsieur Solneman semble donc n’avoir jamais répondu à Voyer. Mais ... c’est
bien ce qui se passa pour les milliers de lectrices et de lecteurs de L’Imbécile de Paris par suite des
manœuvres et contorsions des gens de la B.E.. Oui ou non ? On imagine
facilement les rescapés de la B.E., pas encore relookés en O.T. (tel le grand
dadais redresseur de tort Nikolaï), suffoquant de colère et d’indignation en
1998, parce que pris à leur propre piège, à la vue de ce coupable — forcément
coupable ! — recueil qui depuis mars 1992 est la preuve vivante de leur
bêtise et de leur maladresse (qu’ils préféreront interpréter comme preuve d’une
machiavélique falsification perpétrée par le haineux et vicieux Voyer. Encore
et toujours, l’effet de Selbstmiroitement !)
car ce recueil n’est qu’un recueil, justement, et il reproduit exactement ce
qui se passa à l’époque par la
volonté de ces gens pour la totalité des lecteurs de ce journal y compris donc
pour M. von Nichts ! Voilà pourquoi le scrupuleux éditeur von Nichts ne
modifia en rien son recueil lors de sa réimpression de 1996. Voilà pourquoi,
accusé de manque de probité et menacé d’être accusé de falsification en 1998,
par des tartufes et des manipulateurs qui le sommaient de retirer son recueil
de la vente et de le modifier, il refusa d’obtempérer, persista dans son choix
et assuma celui-ci jusqu’au bout. Sans que J.-P. Voyer soit un seul instant
informé de la chose (Il était effectivement en vacances, il pissait — comme d’habitude — sur la porte du chalet de
Heidegger !). Céder à leur fallacieuse exigence, à leur tentative
d’intimidation aurait été une solution de facilité et une faiblesse, aurait été
reconnaître que ce recueil était incomplet, aurait été reconnaître qu’il y
avait faute, alors que justement il n’y avait pas faute, alors que justement ce
recueil était complet depuis le début, avant mai 1992 comme après ! Voilà
pourquoi, M. von Nichts ne modifiera jamais
son recueil. Mais, voilà aussi pourquoi il publiera par ailleurs toutes les
preuves irréfutables, tous les détails qu’il faudra, permettant aux lectrices
et lecteurs de trancher et ainsi de
confondre publiquement ces fieffés calomniateurs.
6) Remarques à
propos du comportement de J.-P. Voyer après 1992.
J.-P. Voyer ne fut pas
l’instigateur du projet de faire un tel recueil en 1991, ni de sa publication
en 1992. La partie du contenu de ce recueil concernant les gens de la B.E. est
ce qu’elle est par leur faute. La vicieuse accusation de falsification
indiscutable® (volontairement planifiée, délibérément faite et irrémédiablement
accomplie), accusation — en fait — de
falsification tout court (qui reste donc à prouver, à
étayer, à démontrer !) s’est écroulée d’elle-même. Seule peut essayer de
subsister, seule peut prétendre hypocritement avoir un fondement — du point de
vue d’une culpabilité obligatoire de J.-P. Voyer et en supposant à tort que ce
recueil soit une divulgation volontairement incomplète, tronquée de sa
correspondance avec Solneman — l’accusation de falsification par
non-intervention, par non-rectification, par falsification passive ou encore
par silence coupable lorsque J.-P. Voyer et von Nichts se rencontrent pour la
première fois — en juin 1993 — et que Voyer ne trouve rien à redire à ce
recueil ni, ensuite, à la réédition de celui-ci en 1995, puis en 1996. Par son
silence criminel, forcément criminel,
il aurait ainsi cherché à paraître, selon les petits vicieux de l’O.T., avoir eu
le dernier mot (Et quel dernier mot ! « Je ne comprends pas la fin de
votre lettre. »). Et même, tant qu’on y est, l’horrible Voyer aurait — de
façon totalement machiavélique et opportuniste — profité de l’ignorance de son
nouvel éditeur pour ainsi l’instrumentaliser (comme on dit dans le Monde Diplomatique) en vue de faire en sorte qu’il continue de falsifier
à son insu ! Puisque, n’est-ce pas, ce recueil est de toute éternité une falsification indiscutablement faite et
accomplie ! En ne lui parlant pas de la 2ème lettre de
Solneman, dont l’ostrogoth strasbourgeois von Nichts apprendra — par un pur
hasard — l’existence, fin 1995, Voyer aurait ainsi accompli l’exploit de
falsifier, de travestir sa défaite en victoire, sans avoir à lever le petit
doigt, sans avoir à rien faire.
Encore plus puissant que Saint Debord dans la sournoiserie ! N’est-ce
pas ? Mais, cette accusation résiduelle et encore plus vicieuse de
falsification par non-intervention, par silence coupable, s’écroule aussi et
est intenable. L’innocent opuscule de M. von Nichts est la reproduction de
certains documents publiés à une certaine époque dans un journal disparu et là
s’arrête son ambition. Il ne prétend nullement rendre compte ni tenter
d’expliquer dans le détail et après coup, comme je le fais ici, ce qui se passa
à l’époque en privé, en marge de ce journal, par la volonté des gens de la B.E.
et suite à leurs systématiques manigances. Ensuite, pourquoi J.-P. Voyer
devrait-il se soucier de gens qui, en 1991, avaient parus dans L’Imbécile de Paris contre leur gré mais
par leur faute, parce qu’ils s’étaient initialement déguisés en lecteur
quelconque, puis avaient fait en sorte — par la ruse que l’on sait — de ne plus
paraître dans ce journal et qui sont donc totalement responsables du fait que
la partie du recueil de von Nichts les concernant soit ce qu’elle est ?
Pourquoi Voyer devrait-il signaler publiquement qu’il n’a rien répondu en privé
à ces gens, puisque justement il n’avait rien répondu, il avait même poliment
demandé qu’on le laisse libre de ne pas répondre ? Ce qui est la moindre
des choses, face à des manipulateurs et à des illuminés psitattiques et ce qui est tout autre chose, bien plus négative et
chargée d’ironie, que de quémander le droit au silence. Pourquoi Voyer
devrait-il par la suite faire modifier le recueil de son éditeur en lui
demandant de reproduire publiquement une lettre (ou en mentionner son
existence) à laquelle il n’avait pas répondu en privé parce que précisément on
l’avait obligé à ce que cela ait lieu en privé, hors des colonnes de L’Imbécile de Paris ? Parce que,
précisément, on lui avait interdit de la publier et d’y répondre en public,
dans les colonnes de ce journal ! Parce que ces petits messieurs et dames
de la B.E., déguisés en « Solne-ment », qui depuis le début
cherchaient à l’emmancher, à lui faire passer des tests à la con et à se servir
de Lui, de son nom, avaient un plan
minable qui échoua minablement ! Le fait que la 2ème lettre de
ces gens n’ait pas été publiée dans L’Imbécile
de Paris (et ne soit donc pas présente dans le recueil de M. von Nichts)
lui a été imposé par eux. Et, c’est précisément cette volonté de lui forcer la
main (indépendamment du contenu de la lettre, j’y reviens plus loin.) qui
motiva son refus de répondre. J.-P. Voyer accepte de discuter avec des petits
cons en public. La preuve, il a répondu publiquement et point par point aux
questions stupides du monsieur. Mais, J.-P. Voyer refuse de discuter avec des
petits cons qui veulent l’obliger à discuter en privé. La preuve, il a refusé
de continuer la discussion en privé avec eux. Voyer n’a donc jamais rien
dissimulé. Ce qui lui est reproché en fait est : a) d’abord, d’avoir pris
la liberté de ne pas répondre et : b) ensuite de ne pas parler d’une chose
dont on l’obligea à ce qu’elle se fasse en privé (hors de L’Imbécile de Paris), obligation qui occasionna précisément le fait
qu’il ne répondit pas, qu’il mit fin à la chose. Donc, c’est trop tard !
Ce qui est fait est fait ! Ciao
bambino ! Tirez donc de votre côté toutes les conclusions qui
s’imposent et vous feront plaisir, mais ne venez pas exiger six ans plus tard —
en 1998 — et sous la menace, que l’on répare vos fautes ni quoi que ce soit
d’autre ! Va fan culo ! Et Mazel fucking Tov ! Il fallait jouer franc jeu depuis le début ! Voilà
pourquoi, J.-P. Voyer ne répondit jamais rien à toutes les saloperies, à tous
les mensonges proférés par ces acharnés et stupides calomniateurs. Voilà
pourquoi, maintenant que la vérité a été publiquement rétablie, il a pu donner
son sentiment sur cette affaire, extrêmement simple — il refusa de discuter en
privé avec des manipulateurs et des imbéciles — qui fut rendue infiniment
compliquée par des gens, très croyants
mais dénués de scrupules et de générosité, prêts à tout plutôt que de
reconnaître (c’est tellement affreux de s’avouer pareille chose, on les
comprend un peu !) qu’ils étaient effectivement et irrémédiablement des
manipulateurs et des imbéciles.
7) Étonnante
viscosité de la substance otiste.
Les gens de la B.E. avaient
fait en sorte que leur 2ème lettre ne puisse pas être publiée dans L’Imbécile de Paris et c’est cela qui
fit que Voyer refusa de poursuivre plus loin mais, maintenant qu’ils savent
qu’existe un recueil de L’Imbécile,
ils exigent que l’existence de cette lettre privée, qu’ils ont depuis publiée
par leurs soins, soit mentionnée dans ce recueil. Sinon, J.-P. Voyer est
indiscutablement un indiscutable falsificateur ! Mais, peut-on refaire
l’Histoire ? Peut-on modifier le passé ? Seul Staline — on sait
comment — pouvait s’imaginer avoir un tel pouvoir. Deux faits, intimement liés
et irréversibles, qui ne sont plus à discuter, s’étaient produits. Ils avaient
fait en sorte que soit mis fin à la publication de l’échange et conséquemment
Voyer avait mis fin à l’échange. Le recueil de M. von Nichts est donc ce qu’il
est de par les agissements de ces gens et non pas de par les agissements de
Voyer et il est indiscutablement cela depuis mars 1992. Il ne peut donc pas
s’agir d’une falsification indiscutable au sens où celle-ci a irrémédiablement
eut lieu, puisque ce recueil n’a jamais été une « falsification » et
continue imperturbablement d’être ce qu’il est depuis mars 1992, depuis onze
ans déjà. C’est l’absurdité de cette accusation, devenue perceptible après la
publication intempestive sur le forum Debord du tir de contrebatterie de
l’indésirable et abject Weltfaux, absurdité ressentie par les moins idiots
d’entre eux, qui explique le flottement et le malaise dans les rangs des
calomniateurs otistes. À partir de quel moment et par quel prodige un recueil de textes parus dans un journal qui n’est pas,
n’a jamais voulu ni pu être une falsification devient-il une
falsification ? C’est cela qui explique que la pauvrette se réclamant de
la néo-téléologie, sentant vaciller son « croire », assaillie par le
doute et risquant de perdre la foi, se vit obligée, en novembre 2000, d’en
rajouter dans la bêtise en tentant de morigéner ce stupide mécréant de Weltfaux
et en rectifiant ses collègues hérétiques et déviationnistes qui en étaient
arrivés à interpréter ce recueil — cette falsification indiscutablement®
indiscutable® — comme étant une falsification involontaire (une telle chose
est-elle possible ?) faite par négligence, par maladresse, par bêtise.
Quelle risible hypothèse et quelle petitesse pathétique que d’avoir imaginé,
que d’avoir ensuite cru collectivement J.-P. Voyer rendu fou de rage par sa
« défaite » face à ce petit vicieux de « Solneman » et
obsédé par celle-ci au point d’en arriver à se rabaisser, à se renier et à se
salir en cherchant, par les plus vils moyens, à sauver les apparences en
faisant croire qu’il avait vaincu, qu’il avait eu le dernier mot ! Ceci,
en publiant ce recueil dès 1992 ou alors, plus tard, en ne soufflant mot à son
éditeur de l’existence de cette terrible 2ème lettre dont le cuisant
souvenir hantait ses jours et ses nuits. Et que sans doute, n’est-ce pas, il
relisait en cachette tous les soirs, cherchant désespérément à trouver la
faille dans l’infaillible point de vue du génial Solneman. Quelle incroyable
stupidité et bassesse que d’avoir osé porter cette accusation et tenté ensuite,
avec l’acharnement que l’on a vu, de la soutenir ! J.-P. Voyer ne chercha
jamais, ni ne pouvait, ni se soucia un seul instant de rien occulter. Il avait
tout simplement oublié le manipulateur pathologique « Solne-ment ».
Qui plus est, je peux ici certifier qu’il n’a jamais rien lu (à commencer par
le fameux bulletin n° 4 de la B.E., qui ne parvint jamais à son destinataire)
de ce que ces messieurs et dames ont pu écrire par la suite sur Lui ou sur n’importe quoi d’autre. Autre
scoop — encore plus incroyable ! — à partir de 1998, lorsque fut
déclenchée la vile tentative de le solnemaniser,
il prit la liberté — là aussi, c’est la moindre des libertés — de ne rien lire
de toutes les saloperies répandues sur le forum Debord par les bienveillants
humanistes de l’O.T.. Le peu que J.-P. Voyer connaît maintenant de cette
prolifique et hystérique littérature tient à ce que certains de ses
correspondants ont bien voulu lui en communiquer, en version expurgée de toutes
les saloperies, très récemment. Le haut degré de viscosité de la substance
otiste peut être mesuré au fait que le bref refus de J.-P. Voyer émis en privé
en janvier 1992 (qui fut ensuite divulgué en mai 1992 par les mêmes individus
qui lui avaient imposé l’absence de publicité de la chose) fut interprété,
travesti par eux, en dérobade et en défaite. Pas un instant, ces brillants
théoriciens ne furent capables de se mettre à sa place et de se voir eux-mêmes
pour ce que leurs méthodes révélaient qu’ils étaient. Cette
« dérobade », cette « défaite » (totalement imaginaires, totalement
fantasmées, extrapolées par les doux rêveurs de la B.E. puis, hypostasiées par
les petites frappes se dissimulant derrière le sigle O.T., pour se soustraire aux
assauts de la gloire ! Et aux coups de tatane dans les parties fragiles,
un peu aussi, non ?) allaient ensuite en 1998, avec le prétexte de
l’existence du recueil de M. von Nichts, être utilisées comme cause, comme
raison de la falsification (imaginaire, fantasmée, inventée de toute pièce) que
constituait indiscutablement (Toujours le même principe de l’hypostase
Munchhausenienne qui se hisse à cent mètres au dessus du sol, au dessus du
commun des mortels, en se tirant par les cheveux vers le haut, les otistes
arrivent très bien à faire ça !) ce recueil et ayant pour but évident de
dissimuler cette « défaite » et même, ayant pour but de la travestir
en victoire sur monsieur Solneman.
Or, il n’y eut rien de tout cela, ni défaite, ni dissimulation de cette
défaite, ni « victoire » de Voyer, puisque celui-ci avait répondu
tant bien que mal aux questions imbéciles et tordues du monsieur et avait
terminé sa réponse point par point en disant — modestement — qu’il ne
comprenait pas la fin de la lettre de monsieur Solneman. No comprendo ! Il n’y avait donc pas de quoi pavoiser. Il y
eut en fait, et c’est tout ce qui en restera, une tentative de le manipuler, de
se servir de lui, qui échoua. Le recueil de M. von Nichts étant la cruelle photographie de cet échec. Et il y eut
ensuite, à partir de 1998, une acharnée et démentielle tentative de le
calomnier qui échoua, elle aussi. La présente instruction en étant l’impartiale
mise à nu.
8) Le premier
et triple crime de J.-P. Voyer.
Les calomniateurs otistes
démasqués, ridiculisés, autopsiés, se sont vus contraints d’en rajouter dans
l’ignominie, de charger encore plus la mule. C’était ça ou la dislocation ou
peut-être même — non, pitié, pas ça ! — le suicide kokollectif. Mais,
non ! Les pourris vivent très bien avec leur propre pourriture et ne sont
nullement gênés par l’odeur pestilentielle qu’ils dégagent car ils ne se
sentent plus, tout simplement. Dans leurs récentes déclamations et oraisons
publiques, les otistes se sont donc fait devenir des saintes Nitouche de la
théorie animées par les plus pures intentions et l’affreux Voyer a été
transformé en créature infernale. Tout ce que fait leur Papa Voyer — absolument
tout, jusqu’au plus infime détail, même quand il ne fait rien — est devenu
après coup intrinsèquement mauvais et criminel. Le fait qu’ils multiplient
risiblement les « crimes » mineurs de Voyer est un révélateur très
fiable de la tragique liquéfaction (Gloup ! Gloup !) de leur position
réputée inexpugnable (indiscutaaable et irréfutaaable comme on dit, dans le
XVIIIème arrondissement, n’est-ce pas ?) sur le crime majeur de
falsification. J.-P. Voyer, accusé en 1998 du crime de falsification, perpétré
avec la complicité de son valet von Nichts dès 1992, est maintenant accusé
aussi d’avoir fait publier en 1991 la 1ère lettre de monsieur
Solneman dans L’Imbécile de Paris
sans l’en avertir. Ceci, pour se servir de lui et se faire valoir à ses
dépends. Ce premier crime fut accompagné de deux autres crimes collatéraux que
nous allons également examiner ici.
a) Le crime de publication
sans autorisation et à des fins autoglorificatrices.
Selon les redoutables
psychanalystes de l’O.T., Voyer, dès l’instant où il prit connaissance de la
lettre de monsieur Solneman, au lieu de songer à lui répondre en privé sur le
fond et parce qu’il en était totalement incapable, vit tout le bénéfice qu’il
pouvait tirer de cette lettre, en termes de prestige personnel et de gloriole
radicale (Cas clinique de Selbstmiroitement !),
en y répondant publiquement et seulement sur la forme C’est pourquoi, il décida
de tromper le brave et confiant monsieur Solneman en lui écrivant en privé —
ceci dans une lettre ne portant pas sciemment
l’en-tête officiel de L’Imbécile de Paris !
— pour lui dire qu’il allait lui répondre, ce qui laissait supposer et même
induisait qu’il allait lui répondre en privé. Mais, le vaniteux et fourbe Voyer
évita lâchement l’affrontement privé et fit traîtreusement publier cette lettre
et ses superficielles et stupides réponses dans ce vil journal sans prévenir le
gentil monsieur Solneman. Il fallait être un peu azimuté du bocal et inapte à
l’anticipation — à la compréhension d’une situation que l’on est en train de
créer — par incapacité de se mettre à la place de l’autre, pour s’imaginer que
Voyer allait répondre en privé aux questions d’un lecteur de L’Imbécile de Paris relatives à son texte paru dans ce journal. Voyer ne
connaissait pas ce monsieur. Ce monsieur inconnu
le sollicitait en tant que lecteur de son texte paru dans un journal et sans
aucune explication ou justification autre
que sa série de questions relatives à ce texte. Voyer avait donc tout naturellement
répondu dans ce journal pour les lecteurs de ce journal à des questions portant
sur un texte paru dans ce journal et posées par un lecteur de ce journal. C’est
logique, non ? Il avait auparavant écrit (Il n’a jamais existé de papier à
lettre avec en-tête au nom de L’Imbécile
de Paris ! Pauvres et vils petits boutiquiers procéduriers !) en
privé à ce monsieur pour poliment accuser réception de sa lettre et lui dire
qu’il y répondrait dès que possible. C’est bien ce qu’il fit par la suite,
publiquement. Pourquoi Voyer aurait-il du répondre en privé à un lecteur
inconnu posant des questions portant sur un texte publié dans ce journal ?
Si monsieur Solneman voulait, rêvait qu’il en soit ainsi, il aurait fallu
expressément le demander et motiver cette demande par quelque argument
suffisamment lumineux ou convaincant
pour que J.-P. Voyer obtempère et lui réponde à lui uniquement, en privé donc.
Il n’en a pas été ainsi, de par la naïveté mais aussi de par les intentions
dissimulées du monsieur. Que se serait-il passé si les petits messieurs et la
petite dame signant « Solneman » avaient réussi à convaincre Voyer de
leur répondre en privé ? Et comment auraient-il fait pour parvenir à un
tel résultat ? On ne le saura jamais. Bien sûr, c’est regrettable, Voyer
n’avait pas pris la peine de prévenir ce lecteur — tant la chose lui semblait
aller de soi, comme avec M. Lafitte — qu’il allait faire publier ses questions
suivies de ses réponses dans ce journal. Il n’avait pas, non plus, eu la
délicatesse et la courtoisie de lui envoyer à son adresse personnelle un
exemplaire de sa réponse, dédicacé de son illustre
main. Mais, pourquoi aurait-il du faire pareilles choses ? Tout avait
commencé en public ! Sous les yeux des lecteurs d’un journal où l’éditeur
F. Pajak avait reproduit le texte de Voyer servant de conclusion à son livre
intitulé Hécatombe. Monsieur
Solneman, lecteur de ce journal, posait des questions à propos de ce texte
doublement public. Pourquoi donc, Voyer aurait-il du lui répondre en
privé ? De plus, il ne pouvait pas savoir, ni deviner — au vu des
questions posées dans cette lettre — qu’il n’avait pas affaire à un lecteur de
ce journal mais à un groupuscule nouvelle vague, porteur d’un point de vue
théorique d’importance historique et mondiale totale, cherchant à se confronter, à se mesurer — au delà de son
fade texte paru dans un fade journal — à ... Lui, à Jean-Pierre Voyer tel qu’en Lui-même l’éternité ne l’avait pas changé ! Il ne pouvait pas
savoir que pour eux le fade journal L’Imbécile
de Paris, dont ils étaient pourtant les lecteurs, était un support
repoussant et un cadre indigne d’accueillir leur sublime prose et aussi que son
forcément fade lectorat était un public méprisable, décrété inapte à saisir la
nouveauté critique de cette prose. De plus, hélas, la lettre de monsieur
Solneman ne portait aucun en-tête ni référence organisationnels. Pourquoi ces
bienveillants individus n’attendirent-ils pas la parution imminente du
monumental et génial ouvrage de monsieur Solneman pour le faire parvenir au
camarade J.-P. Voyer en lui présentant avec une confiante franchise le background théorico-critique qui
sous-tendait la démarche bicéphale B.E.-Solneman et préférèrent-ils le
questionner en dissimulant leur génial point de vue et surtout qui ils
étaient ? Voilà une intéressante question ! J.-P. Voyer ne pouvait
pas savoir ni deviner tout cela. Il ne le savait pas parce que monsieur
Solneman s’était bien gardé de le lui dire. Et, ces messieurs et dames ne le
lui avaient pas dit, avaient dissimulé la chose, parce que cela faisait partie
de leur fucking plan ! D’abord,
poser en tant que simple lecteur inconnu vingt-sept questions (Trois fois trois
fois trois ! Heil Machin !) portant (soit disant !) sur les
limites du point de vue relatif à la communication infinie, ceci en ne
dévoilant pas encore leur point de vue, infiniment supérieur à celui de leur
Papa et ensuite (Pom, Pom, Pom, Pomme !) se révéler en tant qu’auteur
(kokollectif !) d’un inoubliable ouvrage de 600 pages où se trouve
exposée, entres autres choses admiraaables, la puissante découverte théorique
(L’histoire a une fin ! Oui, Bamboula !) de ce grougroupuscule qui
devait laisser (et qui laissa indiscutablement, n’est-ce pas ?) le pauvre
Voyer assommé ou même raide mort, parce qu’elle est... l’idée de notre temps et
conséquemment le dépapassement de la
pauvre théorie de leur papa Voyer, qui était resté coincé — le pauvre ! —
dans les pauvres années 70. Le premier « crime » de Voyer,
involontaire car il ne savait pas — à cause de leur plan — à qui il avait
affaire fut donc de perturber ce plan en publiant cette 1ère lettre
et c’est ce crime affreux, impardonnable, de divulgation prématurée de la chose dans un fade torchon qui allait entraîner
toute la suite de cette pitoyable mais très instructive affaire.
b) Le crime dédoublé de
« manipulation » et de « trafic ».
J.-P. Voyer a été accusé
d’avoir manipulé et publié trafiquée la 1ère lettre de monsieur Solneman. Il aurait non
seulement trompé le gentil monsieur en publiant cette lettre dans un fade torchon
sans le prévenir — on a vu dans quelles circonstances — mais, se serait livré
en plus à des manipulations (ajout de trois haineux intertitres non présents
dans le texte original) et à des trafics sur cette lettre (un vicieux H
majuscule à « histoire » qui, dans le texte original, était en
minuscule). Qu’en est-il après enquête ? Les intertitres sont l’œuvre de
l’éditeur F. Pajak et non pas de J.-P. Voyer qui avait d’autres chats à
fouetter. On s’en doutait un peu. Ces trois intertitres — qui sont une mise en
exergue d’éléments extraits du corps du texte de monsieur Solneman — ne
changent absolument rien au sens de sa lettre qui fut publiée intégralement. Le
contenu rendu public de cette lettre est identique au contenu de la lettre
originale. Non ? C’est donc pure tartuferie — Commediante ! Tragediante ! — que de venir maintenant
pleurnicher, s’arracher la touffe et s’étrangler d’indignation en parlant des
« manipulations » et des « trafics » de Voyer. Dans
l’hebdomadaire satirique suisse La Nuit,
en juillet 1986, un texte de Voyer intitulé Les
esclaves en col blanc (ce texte fut reproduit en 1991 dans le livre Hécatombe sous le titre À un pédé mondain), fut pareillement
intertitré, toujours par les soins du fantasque Pajak (huit intertitres —
procédé journalistique énervant mais habituel à ces gens et destiné, paraît-il,
à aérer le texte — extraits du corps du texte de Voyer qui ne furent pas
reproduit lors de l’édition d’Hécatombe).
Nous n’avons jamais entendu Voyer venir pleurnicher, s’arracher la touffe et
s’étrangler d’indignation suite aux « manipulations » et
« trafics » de Pajak. Il faut cependant reconnaître — j’essaie d’être
impartial — que la réponse de Voyer à monsieur Solneman ne fut pas intertitrée.
C’est vrai ! J’ignore la raison de ce révoltant favoritisme de même que
j’ignore — au moment où j’écris ceci — quel rusé moudjahid osa mettre un H majuscule à histoire. Si l’histoire a une
fin, c’est donc qu’elle est unique, et alors il convient (creusez le mot) de
l’écrire avec une majuscule, n’est-ce pas ? En tant que juge d’instruction
chargé de l’affaire, j’ai confié la finalisation de l’enquête sur ce point
précis à mes collègues le kokommissaire Bourrel et son adjoint le lieutenant
Kokolumbo. Affaire à suivre, donc.
c) Le crime scandaleux d’antidatage.
Voyer est aussi accusé
d’avoir antidaté sa réponse à « Solneman ». Quand on répond par une
lettre publique ou privée à quelqu’un, en principe on met tout bêtement la date
du jour où l’on a commencé à écrire cette lettre. Il faut donc supposer que
Voyer commença à écrire sa réponse le 28 juin 1991 puisqu’il a écrit cette
date. Non ? Quelle importance, d’ailleurs ? Bien sûr, si la rédaction
d’une lettre a pris trois semaines, ou trois mois, il vaut mieux dater cette
lettre du jour où on l’a terminée et préciser, si besoin est, que sa rédaction
a pris trois semaines ou trois mois. Au cours des interrogatoires musclés,
nécessités par mon instruction, je n’ai pas voulu me ridiculiser ni me
déshonorer en questionnant le coupable sur ce point précis, ni ne le ferai
jamais tant il me semble mesquin d’accuser J.-P. Voyer d’avoir, en plus de tous
les autres crimes atroces qui lui sont reprochés, antidaté sa réponse à
monsieur Solneman pour se donner l’air d’avoir répondu avec aisance et du tac
au tac à celui-ci. Il est des accusations sans preuve qui, par leur côté
microscopique, révèlent toute la bassesse vétilleuse et la malveillance
infiniment travaillée de ceux qui les portent.
9) Le deuxième
crime de J.-P. Voyer.
Si le recueil de M. von
Nichts — reproduction scrupuleuse de ce qui avait été publié dans le journal L’Imbécile de Paris à propos de J.-P.
Voyer — doit être de toute éternité et quoi qu’il puisse advenir une
falsification qui n’est plus à discuter parce qu’elle est faite, accomplie,
finie, irrémédiablement imprimée et diffusée et sur laquelle il n’y a plus à
discuter que de son sens (Doux Jésus ! Notre Père nous a falsifié !
Mais pourquoi donc ?) alors il s’agit ici d’une autofalsification. Nouveau concept, très riche d’enseignements,
n’est-ce pas ! Si ce recueil doit être une falsification que les gens de
l’O.T. se sont ingéniés à grand renfort de paralogismes, d’insultes et de
répugnantes leçons de morale à rendre indiscutable alors, ce sont eux — Mother’s fuckers ! — qui sont les
falsificateurs ! Monsieur Solneman et ses témoins ne font, en fait, que
rendre responsables l’éditeur von Nichts et ensuite Voyer des conséquences de
leurs propres actes et choix. C’est bien cette pauvre tache de
« Solne-ment » qui l’avait voulu ainsi ! Oui ou non ? Pour
l’immense majorité des 30.000 (ou 35.000, peu importe !) lectrices et
lecteurs de L’Imbécile de Paris, un
certain Adreba Solneman avait écrit à Voyer et celui-ci lui avait répondu et
puis ... plus rien. Les lecteurs ordinaires — et donc méprisables — de ce
journal n’entendirent plus jamais parler de ce monsieur. Pour l’infime minorité
des lecteurs de L’Imbécile de Paris
connaissant l’existence du groupuscule B.E., l’affaire allait continuer de la
façon que l’on sait. Leur correspondance publiée partiellement dans le journal L’Imbécile de Paris, du fait de leur dissimulation initiale et de par le
stratagème ultérieur utilisé pour mettre fin à cette publication non désirée,
fut ensuite publiée en totalité par leurs soins. Ils avaient refusé et interdit
que la discussion continue en public (selon eux, non pas en public mais sans
leur autorisation, sur un support indigne de leur prose et où celle-ci avait
été ignoblement trafiquée par le grand méchant loup Voyer, on a vu comment.) et
ils avaient ensuite assuré par leurs soins la publication de ce qui, par leur
faute, était devenu un refus de discussion (selon eux, il ne s’agit pas d’un
refus de discussion mais d’une dérobade, d’une défaite théorique du vilain
coyote. Cette question sera envisagée plus loin.) En accusant le scrupuleux von
Nichts et ensuite Voyer de falsification, les béotistes ne font que leur
reprocher leur propre maladresse, leur propre bêtise et hypocrisie, le
caractère minable de leur plan, mais aussi le fait incroyable, inexplicable
dans un premier temps (on a vu par la suite comment la chose a été expliquée)
que leur papa chéri, leur gourou adoré Voyer à qui ils avaient écrit en
s’imaginant, en croyant l’avoir par anticipation dépassé et enfoncé bien profond, de fond en comble (car, n’est-ce pas,
pour eux tout se résume à ça !)
ait « répondu » qu’il ne leur répondrait pas. Le premier crime,
atroce, de J.-P. Voyer qui avait été d’accepter de discuter avec eux, mais en
public n’était donc rien à côté de son deuxième crime, encore plus atroce, qui
fut de refuser de discuter avec eux en privé.
10) Encore un
autre crime de Voyer !
Selon les gens de la B.E.
travestis en « Solneman », dans sa réponse Voyer ne disait rien de
neuf. Le pauvre Voyer était largué, il était resté embourbé dans des considérations
d’un autre âge, il ne faisait que répéter des banalités désuètes que monsieur
Solneman et ses géniaux témoins connaissaient par cœur et avaient dépassé
depuis bien longtemps déjà, n’est-ce pas ? Pourtant, Voyer avait
longuement et méthodiquement répondu à toutes les questions de monsieur
Solneman. Ces réponses sont intéressantes parce que J.-P. Voyer ne cherche pas
à paraître autre que ce qu’il est, il répond en toute franchise et en toute
modestie — mais aussi avec une certaine ironie sous-jacente — à ce
monsieur-je-sais-tout-mais-je-dis-rien, très pressé d’en finir, qui le
questionnait non pas sur ses positions théoriques mais sur la version
extrapolée (déformée par l’idiosyncrasie solnemanienne), sur la version
reformatée (à partir de son point de vue devant rester informulé) de celles-ci
et résultant en fait de son incapacité manifeste à les appréhender. Voyer avait
essayé de répondre patiemment à tout, sauf au dernier point de cette lettre
qu’il avait dit ne pas comprendre (« Si l’histoire est éternelle, elle n’a
pas de sens ». Je résume grossièrement, veuillez m’en excuser, s’il vous
plaît. Cette 1ère lettre, ainsi que la 2ème sont
disponibles sur le site de l’O.T. et j’en recommande la lecture attentive à
toutes et tous). Et, effectivement, c’était incompréhensible ou peu
compréhensible (et non pas imbécile, Voyer n’a parlé d’imbécillité que très
récemment à propos de la 2ème lettre de la B.E./Solneman, douze ans
donc après cet épisode et après quatre ans d’un bombardement continuel
d’accusations mensongères et ordurières). La chose était incompréhensible ou
peu compréhensible parce que monsieur Solneman volontairement ne précisait pas
ni n’étayait davantage (c’était son plan !) l’affirmation par laquelle il
terminait sa lettre. Il est exact cependant de dire que dans sa réponse à
monsieur Solneman, Voyer ne dit rien de neuf par rapport à ses écrits
antérieurs. Mais, pourquoi Voyer devrait-il dire du « neuf » à chaque
fois qu’il ouvre la bouche ? En 30 ans, il n’a fait qu’élargir, approfondir,
tenter de développer dans ses multiples implications un point de vue qui était
déjà présent en filigrane dans Reich,
mode d’emploi. Ce point de vue
fut ensuite, et très vite, combattu — par les grands révolutionnaires que l’on sait — par la falsification, le
dénigrement et les attaques personnelles, l’accusation de mégalomanie ou de
négationnisme, puis par le silence total, puis par le vil plagiat désamorcé et
honteux et enfin par la calomnie, minable et dégueulasse, dont nous nous
occupons ici. Et puis, que je sache, monsieur Solneman et ses collègues, depuis
l’époque lointaine où ils eurent la sublime révélation que l’on sait, ont-ils
dit quelque chose de neuf ? Qu’ont-ils fait d’autre, à part écrire les
centaines de pages destinées à calomnier et à souiller Voyer, que d’essayer
d’élargir, d’approfondir, de tenter de développer dans ses multiples
implications leur point de vue initial. Deux mille pages, et plus, publiées.
Déjà ! Pour dire quoi ?
Quoi de neuf, Docteur ?
11) À propos
de la correspondance privée « O.T. »-von Nichts publiée tronquée.
Les gens signant O.T., pris en
flagrant délit de divulgation d’une correspondance tronquée, le crime exact qu’ils reprochaient à tort à l’éditeur von Nichts ont
maladroitement tenté de se disculper en « révélant » que : a) leur
groupuscule était innocent d’un tel crime puisque n’étant pas encore
officiellement doté de l’étiquette « O.T. » à l’époque de cette
correspondance avec M. von Nichts mais, que le monsieur ayant écrit à cet
éditeur serait cependant connu des
services otistes actuels, que : b) ce monsieur aurait, hélas, perdu ces
quatre lettres restées privées qui, vraisemblablement, seraient sans intérêt
(M. von Nichts est donc sommé de publier ces quatre lettres sous peine de
passer pour un affreux calomniateur !) et enfin que : c) le pestiféré
Weltfaux aurait personnellement commis un crime similaire en ne publiant que
trois lettres de l’une de ses correspondances privées qui en comportait cinq et
en trahissant son engagement de communiquer les deux autres lettres à qui en
ferait la demande motivée. Voici la réponse du pestiféré à ces trois
points.
a) La révélation de la date
officielle de création de l’étiquette O.T. ne change strictement rien à l’affaire
puisque c’est bien l’assemblage intitulé Fin
du voyerisme paisible — constitué de : 1) la mégatop-compil de textes
et lettres — publics/privés et sans soutane/avec soutane — supposée être une
« correspondance » entre l’ectoplasme « Solneman » et J.-P.
Voyer et de 2) le judicieux extrait de la correspondance avec M. von Nichts —
qui fut utilisé sur le forum Debord et sur le site officiel O.T. comme édifiante
double pièce à conviction par les notaires — lex est quod notamus — de
ce groupuscule pour tenter d’étayer leur accusation mensongère. Qu’est-ce que
ça peut foutre que l’étiquette « O.T. » n’existât pas officiellement à
ce moment-là puisqu’il s’agit des mêmes individus animés par les mêmes viles
intentions ? Qu’avons nous à faire de leurs déguisements successifs ?
Nous signalons ensuite qu’en sus des quatre lettres non publiées par le futur
otiste manquent à cet assemblage — pour qu’il soit complet — les 600 pages du pensum de monsieur Solneman, dont
celui-ci s’était permis d’infliger la volumineuse lecture à J.-P. Voyer. Qui
n’a pas ingurgité le Pavé magique de
monsieur Solneman (Un véritable étouffe-chrétien ! Je peux en témoigner.)
ne comprend qu’à moitié les raisons qui firent que Voyer refusa poliment et en
privé de lui répondre. Mais, peut-être le falsificateur malgré lui von Nichts
(les alsaciens furent presque tous des malgré
nous) est-il coupable, en plus, de ne pas avoir reproduit dans son ignoble
recueil et dès mars 1992 ces 600 pages manquantes ?
b) Ce n’est pas le contenu en soi et pour soi — comme dirait le
grand dialecticien Didouche-Mourad Franque — de chacune de ces misérables
quatre lettres, ni la nullité — affirmée par les otistes — de ce contenu qui
expliquent la décision du monsieur de les escamoter mais la nécessité de dissimuler sa minable tromperie
initiale. Ce monsieur avait écrit à von Nichts déguisé en innocent client
posant d’innocentes questions à un innocent éditeur pour ensuite revêtir sa
casaque de Grand Accusateur. Procédé sournois et méprisable en tout point
comparable à celui des membres de ce même groupuscule, du temps qu’ils se
servaient de la double étiquette B.E.-Solneman, lorsqu’ils écrivirent à Voyer
déguisés en innocent lecteur de L’Imbécile
de Paris pour ensuite revêtir la casaque du Grand Théoricien exigeant en
privé une réponse intelligente à des considérations stupides et volontairement logorrhéiques, sous peine
d’en tirer toutes les conclusions qui s’imposent. M. von Nichts publiera
peut-être un jour l’intégralité de cette correspondance privée qui fut publiée
expurgée par le futur otiste ou peut-être pas. Peut-être cette correspondance
intégrale sera-t-elle d’abord publiée chez les Grecs avec des commentaires
humoristiques de J.-P. Voyer, pour en accroître l’intérêt théorique et, par la
même occasion, la valeur marchande. La question est à l’étude.
c) Quant à la rocambolesque
affaire qui débuta par la divulgation,
sur un site gauchiste, d’une lettre privée m’étant personnellement destinée et
qui occasionna de perfides insinuations et extrapolations de la part des
pipelettes de l’O.T. sur le forum Debord, je rappelle que c’est dans le strict
cadre défensif d’une riposte à de
tels agissements qu’eut lieu ma décision de publier les deux lettres
antécédentes à la lettre divulguée et ensuite le prétendu manquement à ma
parole que me reprochent les vertueux calomniateurs et tricheurs de l’O.T. et non
pas dans le cadre d’une divulgation de courrier privé visant à discréditer une
personne (je ne suis pas Lebovici), à manipuler le public (je ne suis pas le
kokomissaire Nikolaï.) ou encore à se mousser (je ne suis pas un gauchiste
tendance nombriliste). Je ne tripatouille pas le courrier privé des autres,
moi ! En essayant — encore une fois — de me rabaisser, de me discréditer
les bienveillants pestiférés de l’O.T. se plantent à nouveau mais m’obligent pour
prouver mon intégrité et mon innocence à répondre, à m’expliquer et à entrer
dans des détails sans intérêt. Je vais le faire ici le plus brièvement
possible, cette brièveté fera peut-être que seules les personnes incriminées
dans cette affaire comprendront, mais tant pis. De quoi suis-je accusé ? Un
paparazzo avait publié sur son site,
sans aucune autorisation, une lettre privée m’étant destinée et dont il avait
eu copie par la rédactrice de cette lettre. Les bastards (non reconnus par leur papa) de l’O.T. en profitèrent
logiquement pour essayer de me faire un trou dans le cul (ils m’adorent) et en
dessous de la ligne de flottaison, si l’on peut dire ainsi. Cette lettre
divulguée, qui était une réponse à ma première lettre non divulguée,
reproduisait infidèlement ce que j’avais écrit dans ce premier courrier et
ainsi permettait ma mise en cause sur une série de propos que je n’avais pas
tenu. J’y parlais notamment des « méchants de l’O.T. ayant le mérite de
tenter de faire quelque chose dans la théorie ... » — contrairement à la
majorité des divers autres gentils intervenants du forum Debord — mais, j’avais
ajouté : « ...même si cette chose est pour l’instant nulle et que, ne
voulant pas se l’avouer, ils sont devenus les champions de la mauvaise
foi. » Ce dernier passage n’était pas mentionné dans la lettre divulguée
par le paparazzo. Ainsi,
j’apparaissais — à la faveur de cette opération — comme un hypocrite qui dit
une chose en public, pour la galerie, mais pense le contraire en privé, en
cachette. Je n’avais rien demandé à personne et voilà qu’une conjuration de
cloportes tente de me faire passer pour un faux-cul et un abruti. Face à ce tir
croisé, j’ai alors improvisé ma
défense comme j’ai pu, en publiant les trois premières lettres de cette
correspondance privée sur le Forum Debord mais j’ai ensuite refusé — trahissant
ainsi ma parole — de communiquer mes deux dernières lettres (dont je n’ai à
aucun moment dissimulé l’existence) à mes chouchous de l’O.T., qui m’en
demandaient gentiment copie, parce
que je connaissais par avance les basses motivations de cette engeance. Voilà
le fucking crime dont je suis
coupable ! Qui pourra me reprocher d’avoir agi ainsi ? À part les
nobles et courageux emberlificoteurs de l’O.T. ? Ensuite, nous apprenons —
merci, pipelettes de l’O.T. ! — que la petite Conchita destinataire de ces
deux lettres d’amour — une sorte de Mata Hari de l’antivoyerisme tardif — a
essayé de flinguer de deux balles dans le dos et avé un silencieux (Chtoump ! Chtoump !) le détective
privé Philip Weltfaux, en communiquant, en cachette, ces deux lettres à ses ennemis jurés : les méchants
brigatistes mystificateurs de l’O.T. ! Quelle putain de famille ! C’est
à se pisser de rire ! Encore merci, pipelettes de l’O.T. ! J’ai dit à
tous mes correspondants que mes lettres sont la propriété de ceux qui les reçoivent.
C’est écrit, vous l’avez lu ! Tout est donc pour le mieux dans le meilleur
des mondes. Mais, en quoi ces risibles agissements me concernent-ils ?
Quel est le rapport avec la falsification lebovicienne ? Quel est le
rapport avec la calomnie néo-téléologique ? Cette affaire de courrier
privé divulgué par des concierges (creusez le mot) — où j’étais la victime, je
le répète — n’a strictement rien à voir avec celle de la correspondance
sournoisement expurgée Lebovici-Voyer ou avec celle de la pseudo-correspondance
entre J.-P. Voyer et les curés de la B.E. déguisés en « Solne-ment »
ou encore avec celle de la correspondance sournoisement expurgée
« O.T. »-von Nichts. De même que ces trois affaires de correspondances
divulguées à des fins manipulatrices n’ont strictement rien à voir avec
l’opuscule de M. von Nichts qui — répétons-le — n’est pas une divulgation de
correspondances privées mais est un recueil de documents parus dans un journal. Il faudrait arrêter, à un moment donné, de
se palucher et de tout mélanger. Non ? Il est vrai que l’amalgame était
une des techniques favorites de la vermine stalinienne. Alors, quand on est des
pourris vétilleux et moralisateurs encore pires que les pourris staliniens,
pourquoi se gêner ? L’usage que chacun fait des lettres privées d’autrui
le révèle donc pour ce qu’il est,
pour le tordu et le pestiféré qu’il est ou qu’il n’est pas. Dans cette affaire,
j’ai agi en imbécile cherchant à aider
(je lui avais fait parvenir, malgré notre grave désaccord, une caisse gratuite
de Panzerfaust) une personne qui ne le méritait pas. J’ai ensuite cherché à me
défendre avec la maladresse que tout le monde a vu. Je reconnais bien
volontiers, ici, toutes mes erreurs de jugement et fautes. Mais, je n’ai jamais
agi en tordu ou en pestiféré cherchant à manipuler
qui que ce soit. Tout le monde ne peut pas en dire autant.
12) À propos
du comportement de J.-P. Voyer face à monsieur Solneman.
Dans le texte Autopsie, on peut lire que J.-P. Voyer
n’aurait pas manqué (« Qui pourrait douter de la chose une seule
seconde ? ») de continuer la discussion si monsieur Solneman avait
accepté que celle-ci se poursuive dans les colonnes de L’Imbécile de Paris. Ceci en vertu du principe formulé par Voyer en
septembre 2002 : Discuter avec des
cons, d’accord mais en public.
Discuter avec des cons en privé, pas question, plutôt crever. Dans son
intervention de 2003, J.-P. Voyer semble
se contredire — selon les grands logiciens de l’O.T. — en soutenant, après
réflexion, que si les gens de la B.E. n’avaient pas pris les rusées précautions
que l’on sait pour ne plus paraître dans L’Imbécile
de Paris et avaient accepté que la discussion continue dans les colonnes de
ce journal alors, il aurait tout de même mis fin à l’échange en ne répondant
pas à la 2ème lettre de monsieur Solneman et donc en ne publiant pas
une lettre qu’il ne jugeait pas digne de la moindre réponse. Ceci, tant il
jugeait stupide, insolente et logorrhéique cette 2ème lettre. Nous
ne parlerons pas ici de la bible solnemanienne de 600 pages jointe à cette
lettre. Déjà, il n’y a pas contradiction à dire que l’on accepte de discuter
avec des imbéciles en public et à dire ensuite que même, en présence du public,
on refusera de discuter plus loin avec certains imbéciles car la discussion
n’est possible que dans certaines limites de décence et de respect mutuel. La
présence du public est une condition nécessaire mais non suffisante dès lors que sont franchies les limites de la
décence et du respect minimal que l’on doit à autrui et que réciproquement l’on
attend de lui. Donc, J.-P. Voyer ne se contredit nullement (ni ne tire une
balle dans la pantoufle gauche du juge Weltfaux) en apportant cette subtile
précision.
Ensuite, il est toujours
intéressant d’analyser post festum et
même post mortem avec des « SI —
ALORS ! » ce qui fut et ce qui ne fut pas. Il faut donc aussi
examiner la chose de la façon suivante : si monsieur Solneman avait été un
être humain et n’avait pas été une
signature bidon utilisée par un groupuscule cherchant à se payer J.-P. Voyer —
à se faire ce ringard de JPV ressassant sa théorie obsolète dans un fade
torchon — dans une confrontation dont l’issue était réglée d’avance (N’est-ce
pas ?) alors sa deuxième lettre aurait été une réponse pas forcément
intelligente, certes, mais aurait été au moins une réponse effective — tenant
compte des réponses intelligentes et polies de Voyer — et non pas le soliloque
que l’on sait ; alors elle n’aurait pas non plus été logorrhéique (c’est
pour empêcher ou rendre difficile sa publication que monsieur Solneman avait écrit
une aussi longue lettre : 1,75 fois plus volumineuse que la réponse de
Voyer) ni insolente (les individus signant Solneman étaient certains d’avoir
dépassé Voyer et ne se souciaient pas de ce qu’il pouvait radoter, ils ne lui écrivaient que pour se confirmer à eux-mêmes,
en se servant de son nom et en tentant de le manipuler avec désinvolture, la
supériorité indiscutable de leur point de vue) ; alors il ne se serait pas
formalisé outre mesure des innocents intertitres de M. Pajak et du H majuscule
à histoire ; alors il aurait accepté (sans même se poser la question,
comme le laconique et subtil M. Lafitte) que ses confiantes questions et
bienveillantes critiques continuent de paraître dans les colonnes de L’Imbécile de Paris et alors ... le Stürmer
(Merci !) Voyer n’aurait pas manqué de lui répondre et de continuer ainsi
à discuter avec monsieur Solneman. Qui pourrait douter de la chose une seule fucking seconde ? Mais voilà, si ma
tante en avait, alors on l’appellerait mon oncle. Et si mon oncle en était,
alors on l’appellerait ma tante. Donc, l’éventualité évoquée par Voyer après
coup est une éventualité qui n’a pas existé et qui ne pouvait pas exister.
C’est pourquoi, après avoir dans un premier temps — emporté par son élan —
affirmé la chose, il en parle maintenant au conditionnel ! Il n’avait pas
eu le choix ni la possibilité de ne pas publier cette seconde lettre car dans
cette affaire tout se tient. Là aussi, c’était écrit. Le fond est
indissolublement lié à la forme et réciproquement. Le contenu des deux lettres
adressées à Voyer résulte, à chaque fois,
d’un procédé visant à le manipuler. Dans la 1ère lettre, le contenu
des questions est sous-tendu, mais en même temps bridé, par un point de vue qui
doit rester dissimulé et c’est pourquoi il faut aussi dissimuler la véritable
identité des auteurs et en dire le moins possible. Dans la 2ème
lettre, le contenu (j’ai maintes fois recommandé la lecture de cette fameuse 2ème
lettre — génialement longue — dont
monsieur Solneman avait refusé et empêché qu’elle paraisse dans L’Imbécile de Paris.) n’a qu’une
importance marginale car il a été vérifié et confirmé que cet idiot de Voyer ne
dit plus rien de neuf et de plus a été incapable de comprendre le point de vue dissimulé qui sous-tendait ces questions
et il s’agit simplement de faire du remplissage (Et patati et patata !
Comme si les 600 pages ne suffisaient pas !) pour que cette lettre ne
puisse pas être publiée dans le fade torchon ! L’objectif poursuivi depuis
le début, par les génies de la B.E., n’était donc pas le dialogue franc et
loyal avec J.-P. Voyer mais la confirmation en
boucle, en circuit fermé, de sa nullité et donc celle de la supériorité
apodictique des individus signant Solneman. Mais, il manquait, hélas, un
élément de taille, indispensable : la fucking
reconnaissance ! La reconnaissance par Voyer de la nullité de sa
théorie ou au moins la confirmation de sa nullité personnelle (Car, selon les
fossoyeurs ratés de la B.E. :
Voyer n’était qu’une théorie) et ensuite celle de la supériorité incontestable
de leur théorie et conséquemment de leur modeste personne. Mais oui ! Mais
oui ! Schlurp ! Schlurp ! C’est pourquoi, monsieur Solneman ne
voyant venir aucune réponse (Sniff ! Sniff !) à sa seconde lettre
géniale, relança son papa adoré, deux mois plus tard, de la façon que l’on
sait. Et c’est pourquoi, six ans plus tard, se saisissant du prétexte de
l’existence du recueil de M. von Nichts, ces individus dont l’ego collectif
surdimensionné avait si horriblement souffert se lancèrent dans une démentielle
campagne calomnieuse dont l’acharnement est à la hauteur, à la mesure de la
purulente blessure à leur orgueil, à leur vanité, que leur avait infligé, sans
le savoir, J.-P. Voyer en ne leur répondant pas. Tout se tient. De A à Z. Je
récapitule, ici, pour ceux qui — comme von Nichts — commencent à bâiller
d’ennui ou qui s’étaient assoupis en cours de route. Les braves bestiaux de la
B.E., travestis en Solneman, étaient venus chercher leur gourou Voyer et le
questionner en tant que « simple lecteur » à propos de son texte paru
dans L’Imbécile de Paris, mais ces messieurs et dames —
groupuscule imbu, infatué de sa vertigineuse importance — forts marris de voir
leur lettre paraître dans un journal indigne d’eux, décidèrent de mettre fin à
la parution de l’échange dans ce journal tout en s’imaginant que leur papa
Voyer — impressionné par leur géniale prose — accepterait de continuer à se
laisser manipuler et emmancher par eux. C’est cette décision, se manifestant
par un interminable bla-bla tout pénétré d’une risible suffisance, se
manifestant par le délire onaniste que l’on sait, ne tenant aucun compte des
subtiles réponses de Voyer et dont on apprend à la fin seulement qu’il avait été volontairement rendu volumineux
pour en empêcher sa publication, qui fit que J.-P. Voyer mit fin à l’échange.
Il n’eut jamais la possibilité de mettre fin simultanément à l’échange et à sa
publication pour cause et motif de logorrhée stupide, insolente et sourde parce
que, précisément, cette logorrhée stupide, insolente et sourde était calculée, avait pour but, cyniquement
avoué, d’empêcher la publication de la suite de l’échange. Face à de tels
procédés, aussi tordus, aussi éloignés
de sa propension au dialogue et à la contradiction, que pouvait-il faire
d’autre que de mettre fin à l’échange en ne répondant plus ?
13) Remarques
à propos du Procureur Weltfaust.
Dans cette affaire, il ne
peut pas y avoir de Procureur (avec ou sans majuscule) automandaté ou mandaté
par le Weltgeist pas plus qu’il ne
peut y avoir d’agent 007, avec un killing
permit, mandaté par Fuckingham Palace.
J’ai fait référence au Weltgeist
hégélien par pur humour ironique mais, Os
Teleologos prenant tout au pied de la lettre comme ils en ont l’habitude
depuis si longtemps, je dois donc ici préciser ce qu’il en est, à mes yeux, de
mon rôle dans cette affaire. Si je me trompe ou m’illusionne, je souhaite que
quelque lecteur charitable et bien intentionné à mon égard me rectifie sur ce
point. Si l’on devait recourir à un parallèle avec les fonctions judiciaires, je
dirais que j’ai seulement essayé (c’est très dur, je le reconnais !) dans
cette affaire de devenir un juge d’instruction aussi impartial que possible,
mettant à disposition du public, des lecteurs — qui eux, sont la véritable
instance jugeante et ne donnant procuration à personne — des informations
inédites et des éléments de réflexion permettant de se faire une opinion définitive. Le travail d’un juge
d’instruction vise précisément à rendre l’affaire qu’il instruit en état d’être
jugé par les jurés, par le public. C’est ce que j’ai voulu faire ici. Je dois
cependant reconnaître que ma première intervention (le texte Panzerfaust) bricolée à la va-vite, sous
le coup de la colère, fut d’une totale partialité. Cette attitude devient
excusable, ou au moins compréhensible, si on se remémore où en était l’affaire
à l’époque. Les néo-téléologues avaient accusé, tranché, instruit, jugé et lynché tous seuls dans cette affaire.
Sur le forum Debord, on pouvait voir une partie des extrémistes modérantistes
gauchisto-debordistes ou même debordo-voyeristes (Oui, ça existe !) se
réjouir secrètement de l’accusation portée contre Voyer et son éditeur. On
pouvait aussi voir un certain nombre d’entre eux, comme je l’ai signalé,
relativiser la gravité de cette
accusation calomnieuse puisque Voyer n’avait plus d’importance, n’est-ce
pas ? Les mêmes qui avaient lâchement laissé passer la lebovicelardisation étaient en train de
lâchement laisser passer la solnemanisation.
Il s’écoula ensuite deux mois et demi (de recherche systématique
d’informations, d’examen minutieux des faits, de réflexion et de discussions
avec des tiers, plus ou moins impartiaux.) entre la publication de Panzerfaust (texte où l’accusation de
falsification est expédiée en une ligne) sur le forum Debord et le début de la
livraison des Entretiens où la
question de la « falsification » — pas encore devenue à l’époque
indiscutable — est abordée avec franchise sous tous les angles et dans toutes
ses implications possibles. Enfin, ce n’est pas par hypocrisie ou par bouffonnerie
comme j’en ai été accusé à tort par mes old
friends de la B.E./O.T. que je recommande constamment la lecture attentive
des arguments des accusateurs et celle de leurs écrits théoriques. Je ne serais
pas un juge d’instruction impartial (Que c’est difficile !) si je ne
recommandais pas la visite du site de l’Observatoire de Téléologie et l’examen
de la validité de cette accusation et surtout celle de cette littérature, car —
une fois éclaircie la ténébreuse affaire de la calomnie néo-téléologique et une
fois vitrifiée puis désintégrée l’accusation mensongère de falsification —
toute la question est là.
14) Quelques
remarques subsidiaires à propos de la reconnaissance paternelle.
Les vieux adolescents
otistes ont raison, de leur point de vue ! Le méchant et ingrat Voyer
n’avait pas voulu reconnaître ses propres bâtards. La Vaterschaftsanerkennung n’est pas un vain mot ! Pourquoi donc,
J.-P. Voyer n’a-t-il pas répondu à la lettre cachée de monsieur Solne-ment ? Parce qu’il ne pouvait pas ou bien parce
qu’il ne voulait pas ? Si on laisse de côté (mais, est-ce possible ?)
les méthodes manipulatrices du monsieur,
toute la question se résume pour eux au pourquoi
du refus — en janvier 1992 — de répondre de J.-P. Voyer ! Ils ne s’en sont
jamais remis. Voyer n’avait pas répondu à ce pauvre bâtard de
« Solne-ment » ! Il avait mis fin à la discussion ! Il
avait été poli, il n’avait pas traité « Solne-ment » d’imbécile ni ne
lui avait manqué de respect en rien. Mais, il avait, de façon sibylline, refusé d’aller plus loin.
Comprenne qui pourra ! Et, notons-le, cela avait eu lieu en privé, suite à
la demande, suite au stratagème de ces bâtards, car ils étaient plusieurs. Ensuite, pendant douze ans,
J.-P. Voyer, le Bellérophon de la
Critique critique, vaqua à ses méphistophéliques occupations et ne se soucia en
rien de ce monsieur qu’il avait oublié, sauf — bien sûr — à partir de 1998, où
il prit le parti de ne rien lire des tonnes d’excréments divers et de
vomissures variées répandus sur le Forum Debord par ces théoriciens exigeants
mais fort dépités parce que non reconnus. Non pas eux, en tant que personnes
(On l’a bien compris : ils ont fait le sacrifice — à ce qu’ils disent — de
leur personne et de la reconnaissance de celle-ci, comme dans toutes les
sectes) mais eux en tant que porteurs d’un credo qui leur est commun. Je pense
encore ici à la pauvrette, à ses émouvantes professions de foi — publiées sur
le forum Debord et ailleurs — ainsi qu’à quelques autres de ses naïfs
congénères. On peut maintenant, après coup, émettre l’hypothèse (qui reste à
démontrer, à vérifier, j’attends donc, avec une infinie impatience, les
confessions publiques d’un refuznik
infinitiste de la B.E., ou le message codé d’un dissident ou d’un repenti de
l’O.T.) que pour celui ou ceux d’entre eux, non réellement croyants (qui savaient
très bien que J.-P. Voyer n’avait aucun motif sérieux de dissimuler quoi que ce
soit dans cette affaire et de plus était totalement incapable de recourir aux
vils procédés qui lui furent bassement imputés) mais, donc adeptes de la triple
pensée (mais bien sûr, que ça existe ! Regarde-toi dans un miroir !)
l’accusation de falsification portée contre J.-P. Voyer en 1998 ne fut qu’un
moyen commode, opportuniste et désespéré — un ultime subterfuge auquel ne
pouvaient croire réellement (Déclinaison neuve
du croire. Vite ! Scritch
scritch !) que les éléments les plus naïfs, les plus malléables (je suis
poli) de ce grougroupuscule — utilisé pour mettre en avant leur credo et,
conséquemment, pour se remettre personnellement en selle en interne, à leurs propres yeux comme on dit. En 1991, l’opération
Overlord-Seulement échoua, par la
faute de ce sale Juif de Voyer qui ne voulut point voir en Aberdada Sollniemand
le nouveau prophète, le dernier messie
et se refusa à Le reconnaître de la
façon ignoble que l’on sait. Ce fut une ap-ousia
nécessaire. L’opération Tora-Tora-Tora-Solnœud-nœud-ment,
six ans plus tard, qui se voulait la par-ousia,
l’apo-calupsis a été réduite à ce que
nous en voyons maintenant, à ce qu’il en reste. Quel gâchis ! Je les
adore ! On ne peut, de ce point de vue, que saluer bien bas cette
opiniâtreté autistique, ce mordant,
ce remarquable déploiement d’énergie et d’intelligence, hélas dévoyées vers un si vil objectif.
15) L’O.T.,
maintenant.
La venue au monde d’une
enivrante spéculation néo-eschatologique toujours en cours de formulation mais
proposant déjà que (j’extrapole ignoblement) : a) se rejoignent, se
confondent et fusionnent enfin l’individu et le genre, que soient résolues
définitivement cette terrible contradiction et énigme qu’est notre vie de simple mortel, cette tragique (au sens de Miguel de Unamuno)
incomplétude de l’individu et ce sempiternel inachèvement du genre et : b)
que puisse se parachever, s’accomplir le projet de mettre fin consciemment,
collectivement une première et donc dernière fois (n’est-ce pas ?) à cette
prétendument éternelle et faussement inépuisable différence aura, hélas, été
accompagnée par la vicieuse calomnie que l’on sait et les monceaux de détritus,
de vomi, de caca, d’objurgations, de délires haineux, d’insultes que l’on a vu.
Nous en sommes donc là ! Soit le
point de vue « théorique » développé par les rédacteurs de la B.E. et
ensuite par ceux de l’O.T. (présenté au début comme étant l’idée de notre temps, véhiculée sans le savoir par des milliers,
voire des millions d’émeutiers et d’insurgés de par le monde puis dernièrement
ravalé inexplicablement au rang de
simple proposition faite par une
petite bande de nœud-nœuds) est une critique de fond en comble et un véritable
dépassement du point de vue théorique, celui de 1982, de J.-P. Voyer (qui est —
à lui seul — l’incarnation de la limite théorique de notre époque. Pas besoin
donc d’aller s’emmerder à critiquer Saint Debord et l’I.S. C’est déjà
fait ! Depuis 28 ans !) et dans ce cas Voyer, sans pour autant être
un falsificateur, aurait eu le tort (mais, est-ce vraiment un tort ?) de
ne pas voir, de ne pas reconnaître toute la supposée nouveauté critique et
supposée potentialité subversive de ce point de vue. Ceci en refusant de
discuter en privé avec ses bâtards de
la B.E.. Mais alors, cela n’excuse en rien les accusations mensongères et
viles, portées contre lui et son éditeur, et les tombereaux d’immondices
dégueulasses déversés depuis 1998, puisque, c’est prouvé maintenant (Non ?
Pas encore ? Faites-moi savoir alors ce
qui manquerait !), la falsification indiscutable® n’a jamais existé comme
chose faite, mais seulement comme mensonge, comme objet d’un bluff pour les
plus vicieux d’entre eux et comme une croyance
pour les suivistes naïfs. Soit, ce point de vue est une spéculation débile,
ayant pris une direction fantaisiste, une tentative — certes respectable au
début (jusqu’à 1991 ou même, soyons cool, 1995) mais ratée — qui est devenue un
charabia interminable (déjà plus de 2000 pages de bla-bla pondues, en
vain ! Je recommande sur ce point ce que baragouine D.-M. Franque, le
nouveau théoricien de la substance) et dans ce cas Voyer avait parfaitement
compris dès 1991 de quoi il s’agissait et c’est pourquoi, indépendamment des
méthodes manipulatrices de ces gens, il n’aurait pas poursuivi la discussion en
privé avec eux. Et alors, cela explique parfaitement les accusations
mensongères et les tombereaux de saloperies. Le fond, débile, est en parfait
accord avec la forme. Le contenu est dans la méthode, le but véritable n’arrive
pas de la fin, du futur. Il est tout entier présent dans les vils moyens
utilisés depuis le début. Croire, sans la moindre parcelle de recul
autocritique, en la validité d’une spéculation aussi débile, impliquait que
l’on soit assez débile pour commettre une aussi grossière erreur
d’interprétation sur la signification du refus de discuter de J.-P. Voyer en
1992 et sur celle du recueil de M. von Nichts en 1998 et que l’on se lance
ensuite dans d’aussi délirantes hypothèses et inventions à propos des
motivations de J.-P. Voyer. De la même façon, être capable de commettre une
telle erreur d’interprétation sur un fait aussi simple et ensuite être capable de se lancer dans une campagne
calomnieuse acharnée et ignoble, vous disqualifie irrémédiablement en tant que
groupe d’individus ayant la prétention d’inaugurer un débat sur rien moins que
la fin de l’Humanité et de tout. Soyez gentils, ayez la décence minimale à
l’avenir, avant de nous infliger deux mille nouvelles pages à propos de
l’Humanité et de sa Fin finale (oui, mais quelle fin ?), de relire toutes
les mégatonnes de saloperies que vous avez écrites, chiées, en cinq ans à
propos de J.-P. Voyer ! Face à une fin de non-recevoir, à un refus de discuter,
il est toujours nécessaire mais jamais suffisant de se remettre en question en
supposant que l’autre n’a pas compris parce que l’on s’est mal exprimé, parce
que l’on n’a pas su présenter la chose, la rendre accessible et intelligible
pour autrui en faisant l’effort de se mettre à sa place. Mais, plutôt que de
s’imaginer ensuite — si vite ! — puis croire
que l’autre est un idiot, complètement dépassé, incapable donc de comprendre et
six ans plus tard — si vite, là aussi ! — de s’imaginer et de croire qu’il est un salaud qui vous a
falsifié, il faut aussi toujours supposer ou en tout cas ne jamais exclure —
c’est ça la Selbstnégativité, le
doute absolu qui vous oblige à relativiser tout
y compris votre propre vie, votre propre position momentanée — que l’on puisse avoir
tort, que votre point de vue, bien que sous-tendu par la conscience aiguë de
l’insuffisance ou même la fausseté du point de vue de l’autre est lui aussi peut-être un point de vue insuffisant ou
faux. Cette Selbstnégativité est la
condition nécessaire et suffisante de tout dialogue parce que — c’est une chose qui est connue depuis 2500 ans —
quand tu discutes avec moi, quand je discute avec toi, en vérité, c’est nous qui discute avec lui-même, c’est
l’Esprit qui discute avec lui-même. Voilà pourquoi, en principe, les questions
théoriques sont libérées des contingences liées aux personnes. Voilà pourquoi
la démarche solnemanienne de 1991 n’avait absolument rien de théorique,
contrairement à ce que ces braves gens prétendent, et avait tout de la démarche
liée à de dérisoires — mais si émouvantes
et si prenantes, n’est-ce pas ?
— questions d’ego. La suite nous prouva que oui.
Le sympathique Georges Lapierre a au moins compris ça ! Ce que l’on
appelle parfois la Raison n’est donc
pas un mythe. J’ai jadis pensé à la lecture de certains textes et ébauches
prometteuses de la B.E., que certains d’entre eux n’étaient pas complètement
idiots, en tout cas étaient bien plus conséquents et exigeants que n’importe
lequel des 25.000 hoplites lebovo-debordistes — alignés au garde-à-vous depuis
vingt-cinq ans — pétrifiés dans leur bêtise satisfaite, faisant tout pour
oublier, pour ne jamais prononcer le nom maudit ou bien pérorant, bavassant et
postillonnant à propos de ce Voyer qui les avait tant émoustillés, au début, et
qui ensuite les aurait tant déçus. Mieux valait donc la B.E. et ensuite l’O.T.
que rien. Que vingt-cinq ans de
silence hostile entrecoupés de quelques petits rots antivoyeristes ! Le
lebovo-debordisme (achevé de falsifier daté du 27 octobre 1978) restera comme
le misérable déclencheur de la réaction marxo-situationniste antivoyeriste qui
sévit depuis un quart de siècle ! Le grand mérite des béotistes aura été —
à leur esprit défendant, ils croyaient être venus sur Terre pour nous chier un
pendule — d’avoir remis les pendules à l’heure voyeriste ! C’est déjà ça
et c’est mieux que rien ! Merci, B.E. ! Merci, O.T. ! Hélas, ils
se sont ensuite — très vite et très logiquement — fourvoyés et dévoyés de
façon minable, décevante et honteuse,
dans l’impasse de leur calomnie stupide, dans une bataille perdue d’avance où la bêtise insatisfaite de certains d’entre eux
(pas tous ! j’espère.) a pris le dessus sur tout le reste et s’est ensuite
étalée irrémédiablement aux yeux de tous. Pour parler comme Yves Le Manach, la
pensée de Voyer, celui de maintenant,
est encore et toujours le centre du monde.
Cela ne veut pas dire qu’il faille servilement lécher la babouche gauche du
Calife. Schlurp ! Schlurp ! Et, dénigrer, calomnier et falsifier ceux
qui viennent essayer de contredire le Calife, de faire mieux que lui. Encore un
effet du Selbstmiroitement ! Les
pauvres tricheurs et calomniateurs ratés de l’O.T. qui ont inventé et soutenu
pareille ineptie (hypostase complètement loufoque et intéressée qu’ils nomment
la voyerisation), se sont ainsi jugés et caricaturés eux-mêmes. Cela veut dire
que c’est le travail de J.-P. Voyer qu’il faut saluer et que c’est sa
pensée qu’il faut critiquer. Des contradicteurs intelligents et
bienveillants ! Est-ce trop demander ? Est-ce possible ? Après vingt-cinq
années de saloperie systématique et ininterrompue !
16) Quelques
considérations superficielles à propos des processus d’hypostase.
La solnemanisation ou accusation de falsification indiscutable®
restera, dans les annales de la bêtise humaine, comme un cas exemplaire et
mémorable pour une double raison,
d’abord : a) parce que l’infamie que constitue cette calomnie et
l’acharnement morbide des pestiférés de l’O.T. sont totalement inédits à notre époque. Qui aurait pu
penser que de tels tarés puissent encore exister (c’est en quoi, ils sont des
fossiles vivants), ensuite : b) parce que — et bien sûr ce n’est pas un
hasard — l’individu visé est l’alien
Jean-Pierre Voyer. La crapuleuse et veule accusation néo-téléologique portée
contre J.-P. Voyer était destinée à s’écrouler et s’est écroulée (d’abord pour
les témoins extérieurs de cet auto da fe,
et maintenant pour les officiants eux-mêmes)
parce qu’elle était un acte de foi
justement, un acte de Selbstsuggestion,
parce qu’au lieu de se présenter et de se savoir en tant qu’hypothèse (du grec hupo-thesis : ce que l’on pose
consciemment ou suppose comme se tenant dessous et même dans certains cas comme
se posant soi-même — Aristote nommait
cela ousia — et qui exige donc un
processus de vérification et donc aussi d’introspection,
c’est ce que j’ai essayé de mener à bien ici et je continuerai encore s’il le
faut), elle se présenta très vite, sans autre forme de procès, en tant
qu’hypostase (du grec hupo-stasis :
ce que l’on pose inconsciemment, ce que l’on affirme sans l’ombre d’une preuve
— parce que l’on y croit — comme
étant indiscutablement la sub-stance : ce
qui se tient dessous). Le commissaire Nikolaï ne chercha pas à vérifier, il
était venu espionner von Nichts pour avoir confirmation de ce qu’il croyait être une falsification, de ce
qu’il avait décrété urbi et orbi
comme ne pouvant être qu’une falsification et ensuite confondre le coupable.
L’éditeur von Nichts l’en avait pourtant — avec une indulgente ironie — averti,
le 3 juin 1998 : « Il arrive parfois que les commissaires qui croient
tenir un coupable ne veulent plus le lâcher. » Rien n’y fit. Avant de
mettre en marche sa vicieuse petite bouche et d’accuser von Nichts sans preuve,
puis de le fusiller verbalement, le
petit commissaire du peuple Nikolaï aurait du enclencher sa toute petite
cervelle. Mais, lui et ses collègues savent-ils comment fonctionne une telle chose ? C’est parce que les
croyants otistes n’ont jamais rien compris à ce qui est en jeu dans ce que l’on
nomme « croire », qu’ils furent — à la première occasion et sur une
question pratique très simple — les victimes de leurs bêtes émotions, de leurs
propres insuffisances et déficiences théoriques. Les théoriciens du
« croire » y ont cru. Ils ont cru au Papa Noël ! Qui l’eut
cru ? Je ne peux, sur ce point et parce que ce qu’ils veulent — par dessus
tout — c’est qu’on les prenne en considération, que recommander chaudement à
quiconque la lecture de l’édifiant texte otiste intitulé Croire. De quelle chose substantielle
le « croire » est-il l’attribut, l’enveloppe abstraite et
hypostasiée ? L’O.T. ne le dit pas. Hegel, qui avait lu Hume, avait répondu
à cette question élémentaire dans la
très instructive introduction à son Encyclopédie.
Le Stürmer Voyer dans la puissante
thèse 36 — et celles qui précèdent et suivent — de son Introduction à la science de la publicité, règle lui aussi ce
problème. Si on ne sait pas cela, on peut effectivement croire n’importe quoi,
par exemple que tout est pensée ou
aussi que réaliser, c’est finir, on
peut ensuite en déduire que tout a une
fin. Oui, mais quelle fin ?
Et tout cela est bien sympathique et bien clinquant
et puis, ça ne mange pas de pain, comme dirait Qui vous savez. Si on ne sait pas cela, on peut donc être victime,
à tout instant, d’un vicieux processus d’hypostase tapi au coin de la rue ou au
fond de votre cerveau reptilien. C’est un de ces regrettables et funestes
processus qui emporta les pauvres petites fourmis béotiennes très loin de là où
elles espéraient aller en 1991, de là où elles croyaient être en 1998. Voyez à quoi elles en sont arrivées aujourd’hui.
Il n’y a pas plus cruel miroir que celui de la vérité, quand elle est triste et
moche. C’est pourquoi les malheureux otistes préféreront mourir de honte(*)
(après avoir tenté de couvrir de crachats et de vomi et rêvé de détruire tous
leurs contradicteurs) plutôt que d’admettre, de reconnaître que la
falsification indiscutable® dont ils avaient cru être les victimes n’a jamais
existé ailleurs que dans leur petite tête comme réalité chimérique nécessaire à la continuation de leur rêve
éveillé.
Parigi, 10
juillet 2003.
(*) Note 2, ajoutée en mai 2004. Après que J.-P. Voyer
ait achevé d’anéantir l’argumentaire des calomniateurs de l’O.T. sur la forme (Preuves d’une calomnie) et sur le fond (Comment en finir avec de malveillants
imbéciles), le public a pu prendre connaissance de la dislocation de cette
organisation survenue en novembre 2003 et rendue officielle par un faire-part
d’autodissolution intitulé Fin de
l’observatoire de téléologie. Les personnes intéressées par le dénouement
de cette affaire pourront lire les deux textes cités plus haut sur le site de
J.-P. Voyer et le communiqué final de l’O.T. sur le site de ce défunt
groupuscule. Les présents Additifs
avaient été rédigés non pas tant pour informer un public déjà parfaitement au fait de la vilenie de
ces personnages que pour fournir à la défense
des informations lui permettant de détruire à
leurs propres yeux le délire
mensonger dont ces affabulateurs pathologiques étaient prisonniers depuis cinq ans et, ainsi, les faire imploser. C’est bien ce qui a logiquement eu lieu et ceux qui savent lire interpréteront le communiqué
d’autodissolution de l’O.T. pour ce qu’il est et vaut. C’est pourquoi, il nous paraît inutile, maintenant que tout est
fini — pour eux — d’alourdir les prochaines rééditions des Entretiens avec le Dr
Weltfaust avec des Additifs devenus superfétatoires du fait de la
désagrégation de cette association de malfaiteurs.
Toutefois, la présente version corrigée de ce texte restera disponible sur le
site des Éditions Anonymes à titre de
pièce d’archives.